L’été en direct – Emission no43 (Candi Staton)

Photo : Candi Staton in the industrial park by Sean Cokes

Voici, les chanteurs de soul que j’aime bien, épisode 5
Après Bobby Womack, Aaron Neville, George et Gwen McCrae, après William Bell,
voici Candi Staton.

Née le 13 mars 1940, à Hanceville en Alabama, Candi Staton a mille vies : chanteuse prodige au sein d’un trio de gospel dans les années 50, championne de la soul sudiste avec ou sans son mari Clarence Carter au tournant des sixties et des seventies, elle devient très célèbre en 1976 avec un tube disco, “Young Hearts Run Free”.
Par la suite, elle fonde son label de gospel contemporain, revient à la soul sudiste (ou americana) et continue à donner des concerts enflammés.

Candi Staton est “la moins connue des divas de la soul, et pourtant celle dont le palmarès est le plus riche”, écrit Sebastian Danchin dans son encyclopédie de la soul et du rhythm & blues (Fayard).

De fait !

Playliste :
1. Young hearts run free (Warner, 1976)
2. I’m just a prisoner (Of your good lovin’) (Fame, 1970) Eddie Harris, George Jackson
3. I’d rather be an old man’s sweetheart (Than a Young man’s fool) (Fame, 1970) Clarence Carter, George Jackson, Raymond Moore
4. Stand by your man (1971, Fame)
Recorded at Fame Recording Studios / 603 E. Avalon Ave., Muscle Shoals, Ala.
5. Too late, The Jewell Gospel Trio (1958, Nashville)
6. Bridge over troubled water (Beracah, 1997)
7. Hallelujah anyway (2012)
8. His hands (2016)
9. Be peace in the valley (2025, Back to my roots)
10. Can I change my mind (2018 Beracah Records)
11. He called me baby (1971, Fame)
12. Victim (1978, Warner)
13. 1963 (Back to my roots, 2024)

 

Vidéos :

Young Hearts Run Free :

Stand by your man :

His hands :

1963 :

Durée : 01h00’19

Première diffusion le 27/08/2025

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